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Éloge du Baskerville

I. Des lettres pour sculpter les pages
2. Baskerville en son œuvre


Suite de la première partie de ces pages Web inachevées. Ce sont juste quelques jolies images : une illustration du travail de Baskerville, de son amour du gris, des marges et des belles mise en pages. Après le temps, voici l’œuvre (cliquez sur les imagettes pour voir la reproduction en plus grand, dans une nouvelle fenêtre).

Baskerville en son œuvre :
La Bible anglaise
de Cambridge
(page de titre)
La Bible anglaise
de Cambridge
(Livre de Michée)
La Bible grecque d’Oxford
Les Œuvres
de William Congreve
Dédicace
des Œuvres
de Congreve,
par Baskerville
À Paris, pendant
la Révolution
L’Énéide,
première page
L’Énéide,
page intérieure
Les Œuvres
de Joseph Addison
Virgile :
Les Bucoliques
et les Géorgiques
Virgile :
Les Géorgiques
Extrait
du même ouvrage
Milton :
Le Paradis perdu
Orlando
furioso
Juvenal :
Les Satyres
Le Livres
des prières courantes
et des sacrements
Le même
(page intérieure)
Remerciements  : sur Internet, les sources iconographiques sur le Baskerville sont diverses, éparpillées et éclectiques. Pour construire cette page, je suis notamment allé vister les sites du bien nommé Baskerville, du Colorado College, de la bibliothèque du Congres, de l’université de Floride, de la société Graphion, du Loyalist College (Ontario), du Luther College (Iowa,), d’Ostipoduro, du Rochester Institut of Technology, de Jorgos Skouros, de l’université de Waseda (au Japon), de l’université du Wisconsin,

On trouvera une courte notice biographique de John Baskerville dans un article des Cahiers Gutenberg. Pour tout ce qui concerne les activités d’ingénieur et de papetier de Baskerville, le site de Jean-Pierre Lacroux reste indispensable.


Lire la deuxième partie : « Un gris beau comme l’azur »

Lire la troisième partie : « Hommage aux Mrs Eaves »

Lire le début de cette première partie : « Baskerville en son temps »


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